
Un nuage d'incertitudes
Des entretiens menés par World Vision International ont révélé que 45% des personnes déplacées en Ukraine ne savaient pas combien de temps elles resteraient dans la ville où elles s'étaient réfugiées. L'évaluation rapide des besoins a révélé qu'un quart (24%) payaient un loyer, 37% séjournaient dans des familles d'accueil et 25 % avaient cherché refuge dans des centres pour personnes déplacées tels que des écoles et des églises. Plus de la moitié des parents citent le manque de travail et de revenus comme principale préoccupation, avec une augmentation légère mais inquiétante (3%) des ménages ayant recours à la mendicité.